Une S3G dans les pyrénées atalantiques
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Une S3G dans les pyrénées atalantiques
A coté de Pau , une pauvre Monet Goyon S3g de 1950 , rouillée malheureusement , mais sauvable surement . Il lui manque quelques pièces , je ne voit pas le carburateur ...
Pour 180 euros , ça vaut le coup quand meme , mais avec courage y a du boulot ! On ne sais pas si le moteur est bloqué ou pas ? Allez appeler le , sauver là ! Pour moi c'est trop loin comme d'hab.....
https://www.leboncoin.fr/motos/1841007871.htm/
aromax
Pour 180 euros , ça vaut le coup quand meme , mais avec courage y a du boulot ! On ne sais pas si le moteur est bloqué ou pas ? Allez appeler le , sauver là ! Pour moi c'est trop loin comme d'hab.....
https://www.leboncoin.fr/motos/1841007871.htm/
aromax
Aromax- Aficionados du pétochon
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Date d'inscription : 14/12/2013
Age : 70
Localisation : 94 LE PERREUX /ANGLES 85
Re: Une S3G dans les pyrénées atalantiques
Pfuuu !
Du boulot ? ..... Heuu ..... le mot est faible maître Aromax
Au vu du nombre de S3G(DS ?) construites, et partant de ce qu'il en subsiste d'exemplaires, mieux vaudrait considérer l'ensemble comme un beau magasin de pièces détachées, du moins est-ce mon avis.
Enfin, il faut tout de même reconnaître que l'ensemble, bien qu'épars, paraît assez complet jusqu'au carter de chaîne !
A vrai dire et en ce qui me concerne, pendant longtemps je n'ai pas vraiment aimé cette dernière version des S3Gxx dérivée des premières S3.
Je connaissais pourtant ce modèle depuis 1955, année où l'un de nos amis nous avait épatés en arrivant un jour dans notre internat avec la même machine,(1) alors que (pôôvres de nous !) pour la grande majorité, nous en étions pour encore réduits à la simple bécane .....
Un an plus tard, en vacances dans les Alpes avec ma Koehler & Escoffier KM 11 et lors d'une brève rencontre avec un personnage local qui possédait la même S3GD, j'ai eu l'occasion de comparer les deux mécaniques et la filiation de la S3GD. Au cours de la discussion, il m'avait dit alors que ça marchait bien mais "qu'il fallait pas avoir peur de la mener dur" .....
Avec le recul j'y pense quelquefois en me disant que ce n'était pas étonnant surtout au vu du "gabarit" que j'ai encore très bien en mémoire.
Sympathique paysan local, aussi gros qu'il était grand, la face ronde et rougeaude et qui devait être proche des cent dix kilos, la S3GD sous sa masse paraissait être un jouet, un peu à la façon de ces mini vélos sur lesquels les clowns font des cercles sur la piste.
Alors dans les côtes des Alpes, tu parles Charles ..... il ne devait pas souvent passer la seconde. Encore heureux qu'elle voulut encore le traîner en première !
Cette petite anecdote d'un certain temps passé, pour m'amener à dire que j'ai fini par aimer aussi ces dernières versions que je trouvais alors trop modernes et trop "moto" pour me plaire et admettre finalement que j'aurais bien aimé en avoir une dans mon garage.
LPDC.
(1) En 1955 elle ne pouvait avoir guère plus de quatre ans.
Du boulot ? ..... Heuu ..... le mot est faible maître Aromax
Au vu du nombre de S3G(DS ?) construites, et partant de ce qu'il en subsiste d'exemplaires, mieux vaudrait considérer l'ensemble comme un beau magasin de pièces détachées, du moins est-ce mon avis.
Enfin, il faut tout de même reconnaître que l'ensemble, bien qu'épars, paraît assez complet jusqu'au carter de chaîne !
A vrai dire et en ce qui me concerne, pendant longtemps je n'ai pas vraiment aimé cette dernière version des S3Gxx dérivée des premières S3.
Je connaissais pourtant ce modèle depuis 1955, année où l'un de nos amis nous avait épatés en arrivant un jour dans notre internat avec la même machine,(1) alors que (pôôvres de nous !) pour la grande majorité, nous en étions pour encore réduits à la simple bécane .....
Un an plus tard, en vacances dans les Alpes avec ma Koehler & Escoffier KM 11 et lors d'une brève rencontre avec un personnage local qui possédait la même S3GD, j'ai eu l'occasion de comparer les deux mécaniques et la filiation de la S3GD. Au cours de la discussion, il m'avait dit alors que ça marchait bien mais "qu'il fallait pas avoir peur de la mener dur" .....
Avec le recul j'y pense quelquefois en me disant que ce n'était pas étonnant surtout au vu du "gabarit" que j'ai encore très bien en mémoire.
Sympathique paysan local, aussi gros qu'il était grand, la face ronde et rougeaude et qui devait être proche des cent dix kilos, la S3GD sous sa masse paraissait être un jouet, un peu à la façon de ces mini vélos sur lesquels les clowns font des cercles sur la piste.
Alors dans les côtes des Alpes, tu parles Charles ..... il ne devait pas souvent passer la seconde. Encore heureux qu'elle voulut encore le traîner en première !
Cette petite anecdote d'un certain temps passé, pour m'amener à dire que j'ai fini par aimer aussi ces dernières versions que je trouvais alors trop modernes et trop "moto" pour me plaire et admettre finalement que j'aurais bien aimé en avoir une dans mon garage.
LPDC.
(1) En 1955 elle ne pouvait avoir guère plus de quatre ans.
lapétarelleducoin- Modérateur
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Date d'inscription : 03/07/2011
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Localisation : Est Lozère
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