[Mi-Résolu: Radior] Ma chère inconnue - moteur A&D - Des idées ?

Je débute l'aventure, je cherche des éclaireurs bienveillants.
Merci à vous par avance

Bonjour,

une hypothèse parmi d'autres … le cadre et le réservoir sont assez ressemblants



Mais on peut aussi rajouter Mandille et Roux …. ils se ressemblaient beaucoup à l'époque


ou cette DS Malterre M1 … le porte bagage est ressemblant .. mais le réservoir a un dessin en relief ...


Tu peux aussi essayer de regarder ces sujets déjà parus dans le forum concernant Aubier et Dunne … ça peut donner des idées ..
https://30kmh.forumactif.com/search?search_keywords=aubier

Je pencherais plus sur une Prester a cause des tubes avant de la fourche qui ne sont pas droits.
Bien sûr le porte bagage ne correspond pas...
Il y avait tellement de marques Françaises à cette époque!

Au vu de ce qui peut être détaillé sur la photo, il semble bien en effet qu'il pourrait s'agir d'une Prester de type A I (ou B I). Certains petits détails pourraient confirmer ou infirmer cette éventualité. Notamment la patte qui supporte un tendeur de chaîne moteur, ainsi que les biellettes inférieures de suspension qui sont ajourées sur les Prester.
Possèdes-tu d'autres pièces ou sont-elles toutes là ?

La moindre des choses voudrait que chaque élément soit pris en photo, de droite comme de gauche.
Chaque détail peut avoir son importance, et pour avoir des renseignements, tu te dois également d'en fournir toi-même un minimum A&D31 .....
Y a-t-il une plaque rivetée sur le moteur ?

Allez, au turf, ça ne rigole pas ici !

LPDC.

Bonjour,
Merci pour tes conseils avisés.
Je vais mette une autre paire de lunette.
Il me manque pas mal de pièces. Je ne sais pas comment faire pour les tambours et moyeux.
Je vais poster d'autres photos plus éloquentes !
Bonne journée
Je ne sais pas ce qui fait partie des accessoires rajoutés et ce qui était à l'origine sur la machine.
Exemple:
J'ai comme une grande poulie fine sur la roue avant dans les rayons. Il doit s'agir d'un élément de compteur de vitesse , probablement...?

Pour autant que l'on puisse voir, je le pense aussi.

Pour le moyeu de la roue arrière, s'il te manque les éléments que l'on peut imaginer, alors là ..... bienvenue au club de "mission impossible" !
Trouver une roue comme celle-là est déjà très difficile. Alors retrouver les pièces manquantes .....
Mais tout reste toujours possible et mieux vaudra alors chercher une roue complète, voire un moyeu seul.

Seulement, et pardonne-moi si je dois te casser encore un peu le moral, si un pédalier classique complet n'est déjà pas toujours facile à retrouver, celui qui correspond obligatoirement à cette B.M.A est un peu particulier en ce sens qu'il incorpore une roue-libre. Roue libre qui va de pair avec le système de débrayage incorporé du moyeu arrière et qui permet la "mise en marche sur place". (*)

Le système n'est pas idiot mais assez peu courant. L'ennui est qu'il implique quelques pièces (trop peut-être !) spécifiques qui, aujourd'hui, ne simplifient pas leur recherche.
Il faut s'en souvenir avant de se lancer dans ce genre de restauration.

LPDC.

(*) Le moteur Aubier & Dunne du type DX est généralement équipé d'un débrayage. On ne le voit pas ici sur tes photos mais il y a toutes raisons de supposer qu'il n'en comporte pas, puisque "remplacé" de fait par celui installé dans le moyeu de la roue arrière. Toutefois, s'il s'avérait qu'il en comporte un, (importance des photos) cela voudrait dire qu'il n'est pas assorti à l'ensemble des éléments qui composent cette B.M.A. (modification assez facilement réversible)

c'est un moyeu arrière style AYA  ???

Il semble bien qu'il n'y ait que chez AYA que l'on ait vraiment commercialisé ce moyeu.
Celui-ci a donc toutes chances d'en être un.

Par rapport à ce que j'ai dit sur le post précédent, il faut comparer la photos de la M.R avec celle de la D.S Malterre.

Avec une disposition identique dans les deux cas, (Chaîne unique et roue-libre incorporée au pédalier), si la première ne dispose pas d'un système de "mise en marche sur place", la seconde en bénéficie.

Dans le premier cas, on peut constater que le débrayage se retrouve sur le moteur tandis qu'on le retrouve sur le moyeu de la seconde. D'où l'avantage de la seconde sur la première, la première n'ayant en somme que l'avantage de la chaîne unique.
Mais attention à la surveillance de la tension de chaîne, avec ce système, et dans les deux cas, si l'on ne veut pas risquer de se rompre les burnes en cas de gros effort sur les pédales ..... !
Enfin, moi, ce que j'en dis .....

LPDC.

En regardant d'un peu plus près cette coupe d'un moyeu AYA, j'avais oublié qu'il y a aussi le montage à double chaîne (pédalier et moteur) avec roue-libre sur le moyeu (pas à gauche, un peu plus difficile à retrouver elle aussi) et dans ce cas, le démarrage "sur place" est également possible tout en préservant les bijoux .....
Bien entendu, il n'y a pas de débrayage sur le moteur dans ce dernier cas.

LPDC.

Je vas étudier tout ça à tête reposée.
Nous allons être deux désormais à réfléchir.
Mon pote , un papy "kamikaze" de 83 ans, spécialiste en motoculture & possédant un atelier génial (à faire pâlir d'envie n'importe quel bricoleur)
réfléchissant jour et nuit se prend au jeu.
Ces infos sont passionnantes et je te remercie de prendre de ton temps pour m'éclairer et faire revivre ces machines géniales qui pourront traverser
grâce à nous des siècles.

Jean A&D 31

Je retrouve de l'Espoir !
Après une plus minutieuse observation de mon moteur, je suis maintenant prêt à penser qu’il est probablement muni d’un embrayage.
Oh quelle fût ma surprise ce matin !
Alors que je suis en quête d’un moyeu arrière manifestement introuvable pour ma Prester. J'étais quasi convaincu qu'elle devait être pourvu de ce fameux « mécanisme d’embrayage aussi complexe que rare ». Le pédalier lui aussi est une pièce apparemment encore plus rare.
Mais j’ai découverts avec surprise une excroissance avec à l’intérieur, peut-être, un résidu de câble sectionné au ras.
C’est surement le témoin d’un moteur muni d’un embrayage plus classique et qui me permettra la restau. Une base de levier (deux oreilles percées) érodée parait le confirmer. Le levier est absent. En début d’année je vais m’attaquer au démontage du moteur et découvrirai alors l’intérieur de ce beau moulin, A&D 100.
Désolé d'avance pour l'emploi des termes inappropriés mais qui vont être rectifiés, j'en suis sûr, par un bon mécano !!!

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Sur le carter , on dirait bien l'emplacement d'un systeme de débrayage , que l'on voit ici sur le site de macadam 2 roues , https://www.macadam2roues.com/fr/moteur/1845-moteur-aubier-dunne-100cm3.html
et ils appellent ce moteur type AA ?     Alors il a existé ce type AA ?   Ou bien ce serait plutôt  type AH ?  
Alors que le tien serait un type DX ? C'est ce qui est inscrit sur le bas du cylindre que l'on voit au début de ton post . Est ce que le cylindre d'origine aurait été remplacer ?
D'apres le numéro du cylindre ( 29384 ) ce serait bien un DX .
Ou bien je me mélange " les pinceaux " graves !  
La vis entre les 2 petites pattes support du levier manquant , bouche le trou de passage d'une tige qui actionnerait le débrayage . En principe c'est un trou lisse , alors a t'il été taraudé ?

J'ai écrit qu'il s'agit d'un type DX d'apres le numéro sur le cylindre 29384 , me referant à un post de LPDC    de 2013 sur lequel il a écrit :

" Sur la notice d'entretien concernant les moteurs de type "D" (et, par extension, "DX") et "F", (à deux vitesses) il est bien précisé que :

1°/ - Les moteurs numérotés jusqu'à 19 999 sont du type "C". (démultiplication 28 X 60 et cône de montage du volant magnétique à 5 %) Et ça c'est clair.
Ces moteurs étaient généralement prévus pour une transmission secondaire par courroie avec une grande poulie sur roue et le volant magnétique ne comportait QUE la bobine d'allumage. (types de volants ER et ZA)
2°/ - Les moteurs numérotés de 20 000 à 24 999 sont du type "D" (démultiplication 22 X 70 et cône de volant magnétique à 5 %)
Toujours clair.
Ces moteurs, plus récents, étaient alors probablement prévus pour une transmission secondaire à chaîne dans le rapport de (+/-) 11 à 1 ou 12 à 1 selon qu'ils étaient destinés à rouler en pays plats ou pays de côtes. (rapport secondaire entre 3,46 et 3,77 selon le cas et cône de volant magnétique toujours à 5 %)
3°/ - Les moteurs numérotés de 25 000 à 39 999 sont du type "DX". (démultiplication 22 X 70 et cône de volant magnétique à 10 %)
Clair aussi.
Ces moteurs de troisième version sont une évolution des deux premieres et sont généralement livrés d'origine, semble-t-il, avec débrayage.

Tout paraît donc clair, d'autant plus que c'est la "bible" AUBIER & DUNNE qui le dit. "

Et bon Noel à tous !
aromax

L'embrayage était "facultatif", aujourd'hui on dirait plutôt optionnel et ce moteur n'en a pas car il est serait visible à l'extérieur du pignon de sortie.
La fonderie des carters étant sans aucun doute commune, on y voit les oreilles de montage du levier de débrayage.


Reste donc à trouver un moteur A&D avec embrayage ou un moyeu débrayable AYA...

C'est bien taraudé et bouché "d'origine" !

Taraudé à 6 x 1,00 m/m, ce qui n'empêche nullement le passage d'une tige de poussée de 5 m/m.
La vis-bouchon est elle-même d'origine, avec cette forme de tête et la rondelle en fibre qui va avec !
Sur les moteurs à deux vitesses on retrouve les mêmes bouchons pour le remplissage et la vidange de la boîte de vitesses.

Le type AA n'existe pas.
Si le numéro frappé sur l'embase de ce cylindre correspond bien à ceux également frappés sur les trois autres parties du bas-moteur, c'est bien un type DX.
Ce qui reste à être confirmé par la conformité des numéros du bas-moteur ..... ou pas !

Ce qui n'est pas mal chez Aubier & Dunne, c'est que les principaux éléments (sauf culasse) composant l'"ossature" des moteurs sont frappées d'origine.
En cas de remplacement par un élément neuf il fallait normalement le frapper à nouveau des chiffres correspondants aux numéro(s) du bas-moteur.

En découle le fait qu'un cylindre frappé d'un numéro différent des carters du bas-moteur s'avère être, non seulement un "corps étranger" à ce dernier, mais de plus, le type qui y est gravé peut très bien ne pas être celui du moteur lui-même.
Il est exact que ces moteurs (à partir du DX du moins) étaient bien prévus pour recevoir ou non un système de débrayage en fonction de leurs différentes affectations. (Ici, il y a tout lieu de penser qu'il était destiné à une M & R avec pédalier à roue-libre incorporé ou quelque chose du genre)
Mais si la transformation devrait être réalisée, mieux vaudrait alors récupérer un autre moteur en étant déjà équipé, un DX, voire un DY plus récent.

Tout cela pour dire l'intérêt des numéros pour bien s'y retrouver chez ce constructeur.                                      

LPDC.  

PS/ Au sujet de cette très claire coupe d'un débrayage de DX je crois me souvenir que j'y avais relevé une petite erreur dans certaines référence de pièces. C'est à examiner d'un peu plus près si ça vous amuse.

Je viens d'acquérir un nouveau DX muni d'un embrayage - plaque rivetée : "Radior"- . J'ai réussi à extraire le volant, non sans mal ! Ecrou muni d'un extracteur . Est-il envisageable de modifier le premier moteur non muni d'un embrayage avec mon deuxième qui, lui, l'est.
J'y mettrais l'embrayage du second. L'état du premier parait meilleur. La bobine contrôlée présente des faiblesses. On y trouve dessus, inscrit à la main une date (3 mars 1952) ! Révision, remplacement ?
L'étanchéité était-elle sans joint spi ?
Il y a une bougie avec trois électrodes, ça présente un intérêt ?
Est -il utile de remagnétiser le volant magnétique ?

Merci aux experts
           

je découvre ton post.
Bravo bel acquisition .
Très intéressant techniquement aussi.
Bon courage pour tes recherches de pièces et la restauration.

Afin de mener à bien mon projet je viens de trouver une BMA qui ressemble beaucoup à la mienne. Elle est casi complète et il n'y que très peu de différences avec ma première non encore définitivement identifiée.
Elle possède une plaque marquée RADIOR GY ! Est-elle d'origine ??? Elle me semble suspecte...
Le moteur doit être un DY. Je recherche donc de la doc sur cette machine pour plus de certitude et une confirmation.
La biellette de fourche ajourée fait penser à une Prester mais ...

Une Radior avec un autre moteur

RADIOR GY ? Je ne vois pas Elles sont ou ces deux lettres ? Sur la plaque de cadre il y a été effectivement frappé les lettres CY , juste au dessous de "radior " , mais je crois que ça veux dire " cylindrée " , puisque juste apres il y est frappé  100 cc .
aromax

Merci AROMAX, le "perspicace" !

J'aurais dut y penser tout seul ! Je n'ai pas le modèle encore. Toutefois je trouve très peu de différences entre les deux modèles c'est génial !
La deuxième possède une "oreille , oeillet" percé pour fixer sa magnifique béquille qui passe sous le roue arrière ( bien pratique).
L'une avait un arbre de pédalier avec bague, l'autre des roulement à bille.

Elle est déjà aujourd'hui quasi "roulante", un véritable exploit d'avoir pu dégoté en aussi peu de temps et pas cher le même modèle complet sans connaitre ni la marque, ni le modèle.
Tous les détails y sont, sauf le fameux carter de chaine ! Une en a le support de fixation.
Question allumage, la bobine à l'air correcte au test. Mon pote dit qu'un allumage électronique pourrait éventuellement être mis en place. Qu'en pensez vous ?

J'ai pris un pneu à Chambrier à la bourse d'échange ce weekend à Bram (11), il a l'air top - 30€ - pas de port ! J'y ai trouvé une paire des segments pour mon cylindre dit "inusable".
Je n'ai pas de manette de décompresseur, avez vous des infos à communiquer ? Je change un roulement, j'ose espérer que l'étanchéité sera satisfaisante.

Suite au prochain épisode. Je me régale ! Merci aux lecteurs.
       

Tout avance pour le mieux maintenant.

Je ne sais toujours pas sur quelle machine je m'affaire! Une Radior peut être ...je finirais bien par le savoir l'enquête est longue, je recherche des indices ! J'ai une immat sur la plaque minéralogique.

La partie cycle se termine.
J'ai dérouillé l'intérieur du réservoir: lessive de soude à chaud avec une petite chaine pour l'abrasion et acide phosphorique après rinçage toujours avec la chaine.

Pour les moteurs, j'ai gardé pièces qui étaient en meilleur état- j'ai mixé le DX et le DY.Roulements neufs biensur.

Pour le carburateur le boisseau force, il parait tordu.
Remagnétisation du rotor avec un "grognard" made by "Papy Kamikaze", ça à l'air de fonctionner. Durée 3 minutes, une petite dizaine d'impulsions.
Condensateur neuf, rupteur resurfacés.

Je trouve que l'on ne voit pas assez d'engins terminés en photo sur notre Forum et ça me manque.

Je constate que lorsque on entreprend une restauration, que nous n'avons pas tous le même but pour la machine et je me pose des questions.      

Notre personnalité nous anime, biensur. Je vois que certains d'entre nous sont heureux de faire revivre une machine très belle, rutilante comme à la sortie de l'usine - on voit ça au musée -
D'autres comme "sorti de Grange". Tout est respectable.
Pour ma part, je ne souhaite pas effacer les traces de leur histoire. Je ne souhaite pas, par exemple, faire rechromer toutes les pièces. J'ai envie d'une machine fiable et authentique. Je vais garder des bosses et des patines, j'aime ça.

Je la souhaite vivante.

Personnellement, j'ai déjà dut mixer au niveau de la mécanique sur les conseils des personnes expérimentés pour cause de "pièces introuvables".
Pour ma part je veux nuancer, mais je n'ai pas d'expérience ! Déjà nous ne partons pas tous des même bases, tant au niveau de l'érosion du temps, du budget et du temps consacré à la restauration proprement dite.
Il est tout de même fondamental de respecter au maximum la machine sans la transformer, elle doit avoir le plus de pièces d'origine pour transmettre ce magnifique patrimoine qui est arrivé dans nos mains.
Partageons s'il vous plait nos réflexions sur le sujet.
Je vous en remercie par avance :thumleft:  :

l'éternel débat sur la philosophie des restaurations … dans son jus en utilisant un maximum de pièces anciennes restaurées ou alors la "résurrection" d'un engin dans un état plus beau que sorti d'usine il y a 60 ans, est un débat qui risque de durer longtemps car finalement personne n'a tort ou raison …. chacun fait selon ses envies, ses possibilités techniques, son temps disponible … ou tout simplement ses moyens financiers … après tout il y a des choses plus "vitales" qu'un vieux "2 roues" dans la vie de tous les jours … Quand je vois le prix de vente de certains cyclos (ou BMA) restaurés et la valeur résiduelle de ma vieille voiture de 1999 (qui serait bonne à remplacer) je me pose des questions … suis je au bon endroit ?? qu'ai je en commun avec des gens qui vont plus dépenser pour retaper un BMA que je n'ai pour remplacer mon seul véhicule ??? Mais bon, chacun vient avec son histoire perso pour parler d'une passion commune … alors tout est bien  

N'empèche on a parfois l'impression que certains ne viennent que pour leur problème de carbu, de réservoir …. et une fois la solution trouvée … bye !! au revoir !!

On pourrait aussi se poser des questions sur l'intérêt suscité par l'histoire des marques, les évolutions des modèles … Dans le monde de la BMA les gens sont bien obligés de s'intéresser à ces aspects s'ils veulent restaurer leur engin mais je fréquente aussi le milieu du cyclomoteur des années 60/70 et là tu vois des personnes qui cherchent (par exemple) un garde boue pour une Motobécane AV56 de telle année (dans les annonces ou les bourses) et n'en ont rien à faire que peut etre l'année suivant le garde boue a changé un peu de forme … c'est pas leur problème … ils sont là pour résoudre un problème de bout de ferraille et basta ….

C'est bien pour cela que le partage d'idées, de temps,de savoir et d'expérience est enrichissant et fondamental.

Ce forum est bien aussi un FORMIDABLE exutoire de notre quotidien ! Je trouve ces engins relativement pas cher, à l'heure actuelle, en rapport au prix d'un plein de carburant!
Qui peut me contredire ?

La restauration coûte cher je l'entends et prend énormément de temps et d'énergie mais ces magnifiques  "marqueurs" d'une époque bien particulière valent bien des sacrifices tout aussi particuliers.