peugeot p 51 clk2 1938
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Barnab
lapétarelleducoin
rc56
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peugeot p 51 clk2 1938
Bonjour a tous,
Quelqu'un saurait- il me dire dans quel coloris peugeot proposait il ce modèle de p 51, ainsi que les finitions( chrome,...). La mienne ayant déjà été repeinte par un précédent propriétaire, je n'ai aucune idée de sa couleur originale, ni de ce qui était peint ou pas, le modèle de décalcomanies normalement présentes sur le réservoir. ainsi que le modèle de feux arrière, le mien ne me semblant pas correct pour le modèle( fil apparant, courant sur le garde boue ainsi que sur le cadre), ne devrait il a pas être un modèle "dynamo" fixé a droite sur le cadre?
Quelqu'un saurait- il me dire dans quel coloris peugeot proposait il ce modèle de p 51, ainsi que les finitions( chrome,...). La mienne ayant déjà été repeinte par un précédent propriétaire, je n'ai aucune idée de sa couleur originale, ni de ce qui était peint ou pas, le modèle de décalcomanies normalement présentes sur le réservoir. ainsi que le modèle de feux arrière, le mien ne me semblant pas correct pour le modèle( fil apparant, courant sur le garde boue ainsi que sur le cadre), ne devrait il a pas être un modèle "dynamo" fixé a droite sur le cadre?
rc56- Membre confirmé
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Date d'inscription : 02/03/2012
A PROPOS D'ECLAIRAGE SUR P 51 CLK 2.
Bonjour.
Non !
Pas d'alternateur sur la fourche avant ou arrière pour l'éclairage !
Seules les B.M.A dont L'ALLUMAGE était fourni par une MAGNETO,ou encore celles dont le volant magnétique ne comportaient QUE LA BOBINE D'ALLUMAGE (les premières munies de volants magnétiques) avaient droit à ce type d'accessoire pour l'éclairage.
Par habitude ce dernier est nommé à tort "dynamo" alors que dans 90 à 95 % des cas c'est un alternateur à aimant permanent rotatif et bobinage fixe.
Il est vrai,toutefois,qu'il y a eu,également des dynamos dont les inducteurs étaient également constitués d'un aimant permanent fixe à l'intérieur duquel tournait un induit (bobinage).Et dans ce cas,la sortie de courant se trouvait très près du galet d'entraînement au lieu d'être sous l'appareil.Seules,celles-là ont droit à la dénomination de "dynamo".
Le courant d'éclairage est fourni par ce que tu nommes (à tort) allumage et qui est,en fait,un VOLANT MAGNETIQUE.
Une borne,sur la face extérieure du STATOR, (partie fixe) en matière plastique,de couleur vert pâle,et au centre de laquelle dépasse l'extrêmité d'une vis laiton de diamètre 3 mm au pas de 0,60 (ancienne norme) constitue la sortie de courant d'éclairage de cette B.M.A.
La tension délivrée par ce volant magnétique est de 6 volts pour une puissance d'approximativement 7 watts.
La lampe du phare doit comporter les indications suivantes: 6 V 1 A ou 6 V 6 W (si un ou deux plots) ou encore 6 V 6/6 W si deux plots).
Trois types de lampes ont existé :
- 1°/Les lampes à culot E 9.
E pour culot Edison. (à vis)
9 mm pour le diamètre approximatif du culot.
Ce sont des lampes de type "vélo" montées sur beaucoup de cyclomoteurs des années cinquante comme les premières "Mobylettes" de type AV 3. Elles ne comportent qu'un seul filament et n'ont donc qu'une fonction d'éclairage "phare".
- 2°/Les lampes à culot BA 15 D.
BA pour culot à baïonnette. (deux ergots non décalés)
15 mm pour le diamètre du culot.
D pour double plot.
Ces lampes,du gabarit d'une lampe "stop" pour autos ont été assez peu répandues.Elles comportent deux filaments de 1 A chacun (ou 6 W) et ont la fonction de "phare" et "code"
-3°/Les lampes à culot BA 21 D.
BA pour culot à baïonnette. (trois ergots non décalés et équidistants)
21 mm pour le diamètre du culot.
D pour double plot.
Ces lampes sont du type "automobile" et ont été aussi,relativement peu répandues dans cette puissance.Elles comportent également deux filaments de 6 A (ou 6 W) chacun et ont la fonction de "phare" et "code".
Ton phare est probablement prévu pour une lampe du 2ème ou 3ème type.Dans tous les cas,il devra comporter une lampe marquée comme précédemment indiqué.
Bonnes recherches.
LPDC.
Non !
Pas d'alternateur sur la fourche avant ou arrière pour l'éclairage !
Seules les B.M.A dont L'ALLUMAGE était fourni par une MAGNETO,ou encore celles dont le volant magnétique ne comportaient QUE LA BOBINE D'ALLUMAGE (les premières munies de volants magnétiques) avaient droit à ce type d'accessoire pour l'éclairage.
Par habitude ce dernier est nommé à tort "dynamo" alors que dans 90 à 95 % des cas c'est un alternateur à aimant permanent rotatif et bobinage fixe.
Il est vrai,toutefois,qu'il y a eu,également des dynamos dont les inducteurs étaient également constitués d'un aimant permanent fixe à l'intérieur duquel tournait un induit (bobinage).Et dans ce cas,la sortie de courant se trouvait très près du galet d'entraînement au lieu d'être sous l'appareil.Seules,celles-là ont droit à la dénomination de "dynamo".
Le courant d'éclairage est fourni par ce que tu nommes (à tort) allumage et qui est,en fait,un VOLANT MAGNETIQUE.
Une borne,sur la face extérieure du STATOR, (partie fixe) en matière plastique,de couleur vert pâle,et au centre de laquelle dépasse l'extrêmité d'une vis laiton de diamètre 3 mm au pas de 0,60 (ancienne norme) constitue la sortie de courant d'éclairage de cette B.M.A.
La tension délivrée par ce volant magnétique est de 6 volts pour une puissance d'approximativement 7 watts.
La lampe du phare doit comporter les indications suivantes: 6 V 1 A ou 6 V 6 W (si un ou deux plots) ou encore 6 V 6/6 W si deux plots).
Trois types de lampes ont existé :
- 1°/Les lampes à culot E 9.
E pour culot Edison. (à vis)
9 mm pour le diamètre approximatif du culot.
Ce sont des lampes de type "vélo" montées sur beaucoup de cyclomoteurs des années cinquante comme les premières "Mobylettes" de type AV 3. Elles ne comportent qu'un seul filament et n'ont donc qu'une fonction d'éclairage "phare".
- 2°/Les lampes à culot BA 15 D.
BA pour culot à baïonnette. (deux ergots non décalés)
15 mm pour le diamètre du culot.
D pour double plot.
Ces lampes,du gabarit d'une lampe "stop" pour autos ont été assez peu répandues.Elles comportent deux filaments de 1 A chacun (ou 6 W) et ont la fonction de "phare" et "code"
-3°/Les lampes à culot BA 21 D.
BA pour culot à baïonnette. (trois ergots non décalés et équidistants)
21 mm pour le diamètre du culot.
D pour double plot.
Ces lampes sont du type "automobile" et ont été aussi,relativement peu répandues dans cette puissance.Elles comportent également deux filaments de 6 A (ou 6 W) chacun et ont la fonction de "phare" et "code".
Ton phare est probablement prévu pour une lampe du 2ème ou 3ème type.Dans tous les cas,il devra comporter une lampe marquée comme précédemment indiqué.
Bonnes recherches.
LPDC.
lapétarelleducoin- Modérateur
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Date d'inscription : 03/07/2011
Age : 86
Localisation : Est Lozère
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Pourtant, en regardant la photo de la p 51 que nous a mis Quentin dans la même rubrique, l'on peut voir que le phare avant est branché sur le plateau du volant magnétique et que le "phare" arrière" est du type - alternateur- monté sur la petite patte soudée sur cadre et aussi présente sur la mienne, d'où mon questionnement à ce sujet.
De souvenir celle de Barnab ne comporte sur le garde arrière un unique catadiopre, et n'a pas de percage pour un autre feux...( a confirmer!)
De souvenir celle de Barnab ne comporte sur le garde arrière un unique catadiopre, et n'a pas de percage pour un autre feux...( a confirmer!)
rc56- Membre confirmé
- Messages : 20
Date d'inscription : 02/03/2012
CONFUSIONS A EVITER..
Réponse au post précédent,et forcément un peu longue.
Ne confondons pas.
D'ou l'importance des termes sur laquelle je reviens souvent.
Alors,je sais.......ça ennuie certains grincheux qui ne voudront jamais rien apprendre quand ils ont la chance d'être repris.(ce n'est pas toujours agréable,j'en conviens) Ceux-là feront comme ils l'entendent.Ce n'est pas pour eux que je parle ici.
Tout d'abord,cette P 51 est une P 51 C à cylindre aluminium chemisé (version H 2,HL 2 ou L 2,peu importe),ce n'est en aucun cas une P 51.(à cylindre fonte)
Ton "phare arrière" du type alternateur n'en est pas un car il n'est pas destiné à éclairer la route comme celui de l'avant.
C'est tout simplement un feu rouge (ou feu arrière ; n'est-ce pas plus simple ?) placé latéralement ;ce qui a évité de percer le garde-boue pour en fixer un.C'était un choix du constructeur !
Il n'est pas du type "alternateur" non plus car,s'il est bien destiné aux cycles,en général,il n'est pas pour autant destiné à une alimentation spécifique en courant.A la limite,il pourrait très bien être alimenté par une batterie en 6,12 ou encore 24 volts en y placant la lampe adéquate.Pourquoi pas?
En fait,c'est un feu arrière pour cycles et qui,au départ,a sa place sur cette machine dépourvue de plaque de police.
C'est bien une Bicyclette non ? (à Moteur Auxiliaire,certes) Et non immatriculée ? Alors pas d'anachronisme !
Sur la tienne,le feu sur le garde-boue,bien intégré par son style,a forcément été rajouté par la suite,après perçage du garde-boue.(toujours un peu dommage !)
PEUGEOT,comme d'autres avait fait le choix de placer ce feu,placé sur le hauban supérieur gauche de fourche arrière,pour ses propres raisons.
Ta patte soudée était donc bien destinée à la fixation de ce dernier.
Quant au CATADIOPTRE,l'arrêté du 24 décembre 1948 le rend obligatoire à partir de cette époque et il n'était donc pas monté sur cette machine à sa mise en circulation.
Le fil électrique que l'on voit partir de la face externe du STATOR va au COMMUTATEUR d'éclairage qui se trouve sur la gauche du guidon.
A partir de lui,il est dirigé,selon les besoins,vers le filament "code" ou le filament "phare" de ce dernier ainsi que vers le feu arrière de façon permanente dès que le manette du COMMUTATEUR quitte la position "0" (commutateur à 3 positions : 0-1-2)
Le phare que l'on peut voir est très certainement équipé (en lampe d'avant-guerre blanche) d'une lampe N° 2 dans ma description précédente.
Sur les photos,si tu regardes la position de la bougie et du décompresseur sur la culasse,leur position est bien la bonne par rapport à ta machine; ce moteur étant du type Surpuissant "S" monté par PEUGEOT à partir de 1938 sur les P 52 C et en 1939 sur les P 51 C,P 52 C et P 53 C.
Ce moteur comporte une culasse fixée par quatre goujons à bougie centrale arrière et décompresseur central avant.
Cette P 51 C dans un super état de conservation (merci encore,Quentin Armor) est pourtant une énigme,en ce sens qu'elle comporte des éléments un peu anachroniques entre eux.Ne serait-ce que cet échappement à tuyau très court et ce silencieux qui n'était plus monté depuis 1936,et encore,sur les modèles P 50 ou P 51.(moteurs à cylindre fonte)
Ou alors,est-ce un type P 51 C (H 2) de 1936 sur lequel un haut-moteur de "S" a été greffé ; car je crois que la chose est possible sans modifications.
Merci amis,d'avoir eu la patience de me lire.
LPDC.
Ne confondons pas.
D'ou l'importance des termes sur laquelle je reviens souvent.
Alors,je sais.......ça ennuie certains grincheux qui ne voudront jamais rien apprendre quand ils ont la chance d'être repris.(ce n'est pas toujours agréable,j'en conviens) Ceux-là feront comme ils l'entendent.Ce n'est pas pour eux que je parle ici.
Tout d'abord,cette P 51 est une P 51 C à cylindre aluminium chemisé (version H 2,HL 2 ou L 2,peu importe),ce n'est en aucun cas une P 51.(à cylindre fonte)
Ton "phare arrière" du type alternateur n'en est pas un car il n'est pas destiné à éclairer la route comme celui de l'avant.
C'est tout simplement un feu rouge (ou feu arrière ; n'est-ce pas plus simple ?) placé latéralement ;ce qui a évité de percer le garde-boue pour en fixer un.C'était un choix du constructeur !
Il n'est pas du type "alternateur" non plus car,s'il est bien destiné aux cycles,en général,il n'est pas pour autant destiné à une alimentation spécifique en courant.A la limite,il pourrait très bien être alimenté par une batterie en 6,12 ou encore 24 volts en y placant la lampe adéquate.Pourquoi pas?
En fait,c'est un feu arrière pour cycles et qui,au départ,a sa place sur cette machine dépourvue de plaque de police.
C'est bien une Bicyclette non ? (à Moteur Auxiliaire,certes) Et non immatriculée ? Alors pas d'anachronisme !
Sur la tienne,le feu sur le garde-boue,bien intégré par son style,a forcément été rajouté par la suite,après perçage du garde-boue.(toujours un peu dommage !)
PEUGEOT,comme d'autres avait fait le choix de placer ce feu,placé sur le hauban supérieur gauche de fourche arrière,pour ses propres raisons.
Ta patte soudée était donc bien destinée à la fixation de ce dernier.
Quant au CATADIOPTRE,l'arrêté du 24 décembre 1948 le rend obligatoire à partir de cette époque et il n'était donc pas monté sur cette machine à sa mise en circulation.
Le fil électrique que l'on voit partir de la face externe du STATOR va au COMMUTATEUR d'éclairage qui se trouve sur la gauche du guidon.
A partir de lui,il est dirigé,selon les besoins,vers le filament "code" ou le filament "phare" de ce dernier ainsi que vers le feu arrière de façon permanente dès que le manette du COMMUTATEUR quitte la position "0" (commutateur à 3 positions : 0-1-2)
Le phare que l'on peut voir est très certainement équipé (en lampe d'avant-guerre blanche) d'une lampe N° 2 dans ma description précédente.
Sur les photos,si tu regardes la position de la bougie et du décompresseur sur la culasse,leur position est bien la bonne par rapport à ta machine; ce moteur étant du type Surpuissant "S" monté par PEUGEOT à partir de 1938 sur les P 52 C et en 1939 sur les P 51 C,P 52 C et P 53 C.
Ce moteur comporte une culasse fixée par quatre goujons à bougie centrale arrière et décompresseur central avant.
Cette P 51 C dans un super état de conservation (merci encore,Quentin Armor) est pourtant une énigme,en ce sens qu'elle comporte des éléments un peu anachroniques entre eux.Ne serait-ce que cet échappement à tuyau très court et ce silencieux qui n'était plus monté depuis 1936,et encore,sur les modèles P 50 ou P 51.(moteurs à cylindre fonte)
Ou alors,est-ce un type P 51 C (H 2) de 1936 sur lequel un haut-moteur de "S" a été greffé ; car je crois que la chose est possible sans modifications.
Merci amis,d'avoir eu la patience de me lire.
LPDC.
lapétarelleducoin- Modérateur
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Localisation : Est Lozère
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Et des photos pour illustrer ce long discours. Voici le feu arrière de ma machine. Le fil électrique est pour faire les essais d'éclairage lorsque j'aurai acheté l'ampoule avant (la n° 2 dans la liste de LPDC) et il n'est certainement pas passé comme il devrait l'être. Il n'y a pas de catadioptre.
Pour la couleur, la mienne est noire avec filets argent. Le réservoir et le pot de détente étaient chromés (ou nickelés ?).
Pour la couleur, la mienne est noire avec filets argent. Le réservoir et le pot de détente étaient chromés (ou nickelés ?).
Barnab- Aficionados du pétochon
- Messages : 134
Date d'inscription : 13/07/2011
Localisation : Franconville (95)
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Merci pour toutes ces précisions, j'étais persuadé de voir sur les photos de la peugeot citée dans mon dernier post que le feux arrière était monté à la façon d'une dynamo de vélo, je ferais donc en temps voulu( et quand j'aurais trouvé un feux!) les modifications sur la mienne.
rc56- Membre confirmé
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Re: peugeot p 51 clk2 1938
J'ai reçu hier ma bobine ht rebobinée, mon allumage est donc" au poil", j'ai essayé donc de la remettre en route ce soir et....elle ne veut pas , je cale mon point d'ouverture a env. 2/3 mm avt pmh, mon condo est neuf...
elle démarre, tourne 5/ 10 secondes puis cale,
mon carbu est un amal, reconditionné avec de la pièce neuve( joints, boisseau, aiguille,...) mon gicleur était lors de son achat un de valeur 50, celui d'origine est, si j'ai bonne mémoire de 36, ne serait ce pas celui ci qui "gaverait" trop mon moteur?
elle démarre, tourne 5/ 10 secondes puis cale,
mon carbu est un amal, reconditionné avec de la pièce neuve( joints, boisseau, aiguille,...) mon gicleur était lors de son achat un de valeur 50, celui d'origine est, si j'ai bonne mémoire de 36, ne serait ce pas celui ci qui "gaverait" trop mon moteur?
rc56- Membre confirmé
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Date d'inscription : 02/03/2012
Re: peugeot p 51 clk2 1938
tourne 5 à 10 secondes avant de caler ou 1 à 2 minutes ?rc56 a écrit:...
elle démarre, tourne 5/ 10 secondes puis cale,...
vieubidule- Aficionados du pétochon
- Messages : 377
Date d'inscription : 15/12/2011
Localisation : à l'ouest
Re: peugeot p 51 clk2 1938
tourne 5/10 secondes voir un peu plus avant de caler...
rc56- Membre confirmé
- Messages : 20
Date d'inscription : 02/03/2012
Re: peugeot p 51 clk2 1938
La mienne tourne avec une avance de 4 mm avant PMH.
Barnab- Aficionados du pétochon
- Messages : 134
Date d'inscription : 13/07/2011
Localisation : Franconville (95)
Bertrand44 aime ce message
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Depuis j' ai passé mon réservoir a l'acide, puis a la soude, et pour finir au g4...depuis ça roule, en fait j'avais beau nettoyé mon réservoir, la m.... n'en finissait pas de descendre
depuis ça roule!
j'en ai aussi profité aussi pour mettre mon éclairage arrière aux normes... du moins a ce qu'il devrait ressembler d'origine avec un catadioptre en plus qui me permet de masquer les trous fait pour la pose du feu posé antérieurement....
depuis ça roule!
j'en ai aussi profité aussi pour mettre mon éclairage arrière aux normes... du moins a ce qu'il devrait ressembler d'origine avec un catadioptre en plus qui me permet de masquer les trous fait pour la pose du feu posé antérieurement....
rc56- Membre confirmé
- Messages : 20
Date d'inscription : 02/03/2012
Bertrand44 aime ce message
restauration d'un P 51
Bonjour,
j'ai apprécié de voir cette belle machine d'avant guerre,
je restaure moi-même une P 51 identique achetée dans un drôle d'état, exception faite du moteur qui a l'air en bon état.
il me manque de nombreuses pièces dont l'axe de fourche ainsi que les deux couronnes sur le moyeux arrière.
J'ai les jantes sans les rayons et les moyeux sans les axes ni les mâchoires de frein:(
je compte bien me tourner vers les marchand habituels mais sans références précises cela semble compliqué!!
sans parler de l'axe du pédalier, manquant lui aussi avec son système de verrouillage s'i en est ?
des photos ainsi que les références concernant les roues me seraient d'un grand secours afin de rendre ma Poulette 51 roulante
Merci à vous pour ces futures réponses.
j'ai apprécié de voir cette belle machine d'avant guerre,
je restaure moi-même une P 51 identique achetée dans un drôle d'état, exception faite du moteur qui a l'air en bon état.
il me manque de nombreuses pièces dont l'axe de fourche ainsi que les deux couronnes sur le moyeux arrière.
J'ai les jantes sans les rayons et les moyeux sans les axes ni les mâchoires de frein:(
je compte bien me tourner vers les marchand habituels mais sans références précises cela semble compliqué!!
sans parler de l'axe du pédalier, manquant lui aussi avec son système de verrouillage s'i en est ?
des photos ainsi que les références concernant les roues me seraient d'un grand secours afin de rendre ma Poulette 51 roulante
Merci à vous pour ces futures réponses.
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Bonjour Rigadain.
Je prends ton "appel" au vol.
Je n'ai pas le temps d'y répondre et je remets ça à un peu plus tard.
Je vois qu'il va te falloir, toi aussi, te familiariser avec les termes adéquats pour que nous nous comprenions mieux.
Ca ne perd donc rien pour attendre.
A plus tard donc.
LPDC.
Je prends ton "appel" au vol.
Je n'ai pas le temps d'y répondre et je remets ça à un peu plus tard.
Je vois qu'il va te falloir, toi aussi, te familiariser avec les termes adéquats pour que nous nous comprenions mieux.
Ca ne perd donc rien pour attendre.
A plus tard donc.
LPDC.
lapétarelleducoin- Modérateur
- Messages : 6373
Date d'inscription : 03/07/2011
Age : 86
Localisation : Est Lozère
Re: peugeot p 51 clk2 1938
rigadain a écrit:Bonjour,
j'ai apprécié de voir cette belle machine d'avant guerre,
je restaure moi-même une P 51 identique achetée dans un drôle d'état, exception faite du moteur qui a l'air en bon état.
il me manque de nombreuses pièces dont l'axe de fourche ainsi que les deux couronnes sur le moyeux arrière.
J'ai les jantes sans les rayons et les moyeux sans les axes ni les mâchoires de frein:(
je compte bien me tourner vers les marchand habituels mais sans références précises cela semble compliqué!!
sans parler de l'axe du pédalier, manquant lui aussi avec son système de verrouillage s'i en est ?
des photos ainsi que les références concernant les roues me seraient d'un grand secours afin de rendre ma Poulette 51 roulante
Merci à vous pour ces futures réponses.
Bonjour, essaye d'en trouver une deuxième en mauvais état.
Cela te feras un stock de pièces pour en monter une et du stock pour te dépanner ou dépanner les copains!
Arsène- Aficionados du pétochon
- Messages : 239
Date d'inscription : 24/07/2012
Age : 62
Localisation : Belgique
P 51 de rigadain
Bonjour Arsène,
c'est une éventualité que je redoute car déshabiller Paul pour habiller jacques cela fait une ancêtre de foutue !
même si c'est pour la bonne cause car je destine cette noble et fine machine à mon épouse.
Mais l'idée fera peut-être son chemin et si ça peut aider les copains.
Il ne me reste plus qu'à passer une annonce dans LVM !
Bien à toi,
rigadain
c'est une éventualité que je redoute car déshabiller Paul pour habiller jacques cela fait une ancêtre de foutue !
même si c'est pour la bonne cause car je destine cette noble et fine machine à mon épouse.
Mais l'idée fera peut-être son chemin et si ça peut aider les copains.
Il ne me reste plus qu'à passer une annonce dans LVM !
Bien à toi,
rigadain
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Donc, me revoici.
Aurais-tu récupéré cette P 51 C en pièces détachées Rigadain ? C'est un peu l'effet qu'elle me donne.
J'ai donc noté quelques points à éclaircir que voici :
1° - Qu'est-ce que tu nommes "axe de fourche" ?
L'un des quatre axes de la suspension à parallélogramme ?
Le "Té" de fourche qui tient lieu de "pivot de direction" ?
Si c'est ce dernier, il se nomme "té de fourche" (ou T de fourche) et c'est à retenir. On saura de quoi il est question.
2° - Ta B.M.A n'est pas une P 51 (à cylindre fonte) mais une P 51 C (C pour chemisé). Déjà dit précédemment.
Sinon, dans le cas d'une réelle P 51, comment faudra-t-il la désigner pour ne pas se tromper ? A retenir aussi.
3° - Les références précises dont tu parles, n'ont d'intérêt que dans le cas où deux interlocuteurs possèdent les mêmes photocopies des mêmes catalogues PEUGEOT (ou autres). Et dans ce cas, (en dehors des appellations, souvent changeantes d'un constructeur à l'autre et pour les mêmes pièces) cela permet surtout de ne pas se tromper en parlant des mêmes éléments. Précision des mots......et des références, toujours.
A présent, et vis-à-vis des vendeurs, je puis te dire que cela n'a aucun intérêt. Ils ne les connaissent pas.
Du reste, ils sont "infoutus" de faire imprimer un catalogue clair et détaillé comme ce qui se faisait il y a fort longtemps. Ces catalogues étaient une mine de renseignements et de précisions de toutes sortes.
Aujourd'hui, ils sont bien loin de leur arriver à la cheville et je les trouve même lamentables, avec leur charabia indigeste. Chez eux, c'est le règne de "l'à-peu-près". Mais ne crachons tout de même pas dans la soupe. Sans ces vendeurs, nous ne retrouverions pas les 600 X 55 "C", par exemple, malgré que la qualité de leur chape laisse plus qu'à désirer......
Il vaut donc mieux connaître les noms de chaque pièce et parler clair. On sera toujours à temps de leur parler en sabir s'ils ne comprennent vraiment pas.
Pour ne prendre que l'exemple des moyeux de roues, il faut préciser : cônes en 9,5 au pas de 1,00 m/m, cuvettes, billes de 6,35 m/m, axes de 9,5 m/m au pas de 1,00 m/m, écrous, contre-écrous, rondelles ergotées, entretoises, etc, etc.
Mais l'arrêtoir référence x ou le gousset référence y , ce n'est même pas la peine d'essayer.....ils ne peuvent pas tout connaître dans le détail et de toutes façons ne sont pas assez "pointus" pour cela.
Moi non plus, je n'aime pas désosser un engin pour en équiper un autre. Et, quand il m'arrive de récupérer une épave pour pièces je ne me résous que difficilement à la décortiquer pour lui prendre les meilleurs éléments. Je pense qu'elle peut toujours être "remontable", et je préfère, de loin, récupérer de ci, de là, les éléments manquants.
C'est une sorte de travail d'équarisseur pour lequel je n'ai aucun penchant.
Maintenant, pour une épave dont le cadre est écrabouillé et irrécupérable, je n'ai plus les mêmes scrupules....
Avant-hier, par contre, j'ai récupéré les restes d'une B.M.A incomplète mais parfaitement restaurable. Au départ, je l'ai récupérée pour les pièces......mais à présent.....? Bah, je verrai !
En attendant, je vais tout classer méthodiquement.
LPDC.
Aurais-tu récupéré cette P 51 C en pièces détachées Rigadain ? C'est un peu l'effet qu'elle me donne.
J'ai donc noté quelques points à éclaircir que voici :
1° - Qu'est-ce que tu nommes "axe de fourche" ?
L'un des quatre axes de la suspension à parallélogramme ?
Le "Té" de fourche qui tient lieu de "pivot de direction" ?
Si c'est ce dernier, il se nomme "té de fourche" (ou T de fourche) et c'est à retenir. On saura de quoi il est question.
2° - Ta B.M.A n'est pas une P 51 (à cylindre fonte) mais une P 51 C (C pour chemisé). Déjà dit précédemment.
Sinon, dans le cas d'une réelle P 51, comment faudra-t-il la désigner pour ne pas se tromper ? A retenir aussi.
3° - Les références précises dont tu parles, n'ont d'intérêt que dans le cas où deux interlocuteurs possèdent les mêmes photocopies des mêmes catalogues PEUGEOT (ou autres). Et dans ce cas, (en dehors des appellations, souvent changeantes d'un constructeur à l'autre et pour les mêmes pièces) cela permet surtout de ne pas se tromper en parlant des mêmes éléments. Précision des mots......et des références, toujours.
A présent, et vis-à-vis des vendeurs, je puis te dire que cela n'a aucun intérêt. Ils ne les connaissent pas.
Du reste, ils sont "infoutus" de faire imprimer un catalogue clair et détaillé comme ce qui se faisait il y a fort longtemps. Ces catalogues étaient une mine de renseignements et de précisions de toutes sortes.
Aujourd'hui, ils sont bien loin de leur arriver à la cheville et je les trouve même lamentables, avec leur charabia indigeste. Chez eux, c'est le règne de "l'à-peu-près". Mais ne crachons tout de même pas dans la soupe. Sans ces vendeurs, nous ne retrouverions pas les 600 X 55 "C", par exemple, malgré que la qualité de leur chape laisse plus qu'à désirer......
Il vaut donc mieux connaître les noms de chaque pièce et parler clair. On sera toujours à temps de leur parler en sabir s'ils ne comprennent vraiment pas.
Pour ne prendre que l'exemple des moyeux de roues, il faut préciser : cônes en 9,5 au pas de 1,00 m/m, cuvettes, billes de 6,35 m/m, axes de 9,5 m/m au pas de 1,00 m/m, écrous, contre-écrous, rondelles ergotées, entretoises, etc, etc.
Mais l'arrêtoir référence x ou le gousset référence y , ce n'est même pas la peine d'essayer.....ils ne peuvent pas tout connaître dans le détail et de toutes façons ne sont pas assez "pointus" pour cela.
Moi non plus, je n'aime pas désosser un engin pour en équiper un autre. Et, quand il m'arrive de récupérer une épave pour pièces je ne me résous que difficilement à la décortiquer pour lui prendre les meilleurs éléments. Je pense qu'elle peut toujours être "remontable", et je préfère, de loin, récupérer de ci, de là, les éléments manquants.
C'est une sorte de travail d'équarisseur pour lequel je n'ai aucun penchant.
Maintenant, pour une épave dont le cadre est écrabouillé et irrécupérable, je n'ai plus les mêmes scrupules....
Avant-hier, par contre, j'ai récupéré les restes d'une B.M.A incomplète mais parfaitement restaurable. Au départ, je l'ai récupérée pour les pièces......mais à présent.....? Bah, je verrai !
En attendant, je vais tout classer méthodiquement.
LPDC.
lapétarelleducoin- Modérateur
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réponse de rigadain bma p 51 chemisée
Cher Lapetarelleducoin,
Déjà et et pour faire plus ample connaissance, merci pour ce long, explicite,
pertinent et sympathique courrier car il est rare par ces temps marqués d'individualisme de recevoir autant, sois en remercié.
J'ai effectivement acheté cette petite BMA Peugeot du coté de Bourges après un allez retour de 700 KM
et la déception de trouver une épave (hormis le moteur... en attendant de le tester !) complète soi disant à 80 pour cent sans cylindre de fourche T? sans visserie ni axes de roues etc...
Un marchand indélicat comme on en rencontre trop dans ce microcosme de la moto ancienne, des affameurs des temps modernes qui stockent dans leur grange des monceaux de pièces, des moteurs attachés à leur cadre tronçonné, j'en passe et des meilleures.
Bref, des gens qui n'ont rien à voir avec la tendre passion que nous vouons à nos machines.
Je te rejoins donc par rapport à ta CONSTATATION éditée sur forum, c'est scandaleux et à la limite du vandalisme dans la plupart des cas.
J'ai donc payé le sagouin, en espèces bien sur et en me promettant de lui rendre la monnaie de mes billet à l'occasion d'une prochaine rencontre sur ou bourse d'échange ou ailleurs.
Voilà, cela fait du bien de dire ce que l'on pense de ces vilains parasites !!!
Un chose est certaine , je reste motivé malgré l'ampleur de la tache en imaginant ma compagne sur cette frêle machine couleur bleu nuit et chrome avec des liserés crème.. car il faut bien rêver et le rigadain est têtu ce qui n'est pas là son moindre défaut
Je te remercie donc pour ces précieuses informations quand à la description et la terminologie des pièces ainsi que pour ton analyse de la démarche du restaurateur avisé.
Je ne manquerais pas de te recontacter ni de laisser quelques messages sur ce forum où l'on obtient des réponses, la tienne déjà et c'est de bonne augure por la suite de nos travaux.
Bien à toi,
Rigadain.
Déjà et et pour faire plus ample connaissance, merci pour ce long, explicite,
pertinent et sympathique courrier car il est rare par ces temps marqués d'individualisme de recevoir autant, sois en remercié.
J'ai effectivement acheté cette petite BMA Peugeot du coté de Bourges après un allez retour de 700 KM
et la déception de trouver une épave (hormis le moteur... en attendant de le tester !) complète soi disant à 80 pour cent sans cylindre de fourche T? sans visserie ni axes de roues etc...
Un marchand indélicat comme on en rencontre trop dans ce microcosme de la moto ancienne, des affameurs des temps modernes qui stockent dans leur grange des monceaux de pièces, des moteurs attachés à leur cadre tronçonné, j'en passe et des meilleures.
Bref, des gens qui n'ont rien à voir avec la tendre passion que nous vouons à nos machines.
Je te rejoins donc par rapport à ta CONSTATATION éditée sur forum, c'est scandaleux et à la limite du vandalisme dans la plupart des cas.
J'ai donc payé le sagouin, en espèces bien sur et en me promettant de lui rendre la monnaie de mes billet à l'occasion d'une prochaine rencontre sur ou bourse d'échange ou ailleurs.
Voilà, cela fait du bien de dire ce que l'on pense de ces vilains parasites !!!
Un chose est certaine , je reste motivé malgré l'ampleur de la tache en imaginant ma compagne sur cette frêle machine couleur bleu nuit et chrome avec des liserés crème.. car il faut bien rêver et le rigadain est têtu ce qui n'est pas là son moindre défaut
Je te remercie donc pour ces précieuses informations quand à la description et la terminologie des pièces ainsi que pour ton analyse de la démarche du restaurateur avisé.
Je ne manquerais pas de te recontacter ni de laisser quelques messages sur ce forum où l'on obtient des réponses, la tienne déjà et c'est de bonne augure por la suite de nos travaux.
Bien à toi,
Rigadain.
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Bon Dieu que c'est bien dit. Du rêve, oui, j'y avais jamais pensé mais c'est bien ça notre moteur
crocus- Aficionados du pétochon
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Re: peugeot p 51 clk2 1938
Ben oui, tu vois Crocus, je crois que le rêve est un de nos principaux moteurs.
Je peux bien dire aujourd'hui que j'ai été un rêveur toute ma vie.
Mon dernier patron, plus jeune que moi, intelligent, ambitieux et assez fin psychologue, me le disais de temps en temps avec un de ses sourires en coin, agrémenté d'une bonne dose de moquerie.
Il m'avait bien "deviné".
Et c'est bien vrai, j'ai été un rêveur toute ma vie. C'est l'une des principales raisons pour lesquelles je suis resté pauvre et n'ai pas honte de le dire.
Pauvre mais passionné avant tout.
Il y a des renards partout qui savent tirer profit de la moindre faiblesse des gens qu'ils ont en face d'eux. C'est malheureusement la règle du jeu de cette vie à laquelle nous sommes pourtant tous aussi attachés.
Et nous nous sommes tous fait avoir un jour par plus expérimenté que soi. Une pauvre petite consolation en somme.....
Rigadain, ton post m'a profondément touché; je ne le cache pas non plus.
A travers quelques piques de mauvaise humeur de ceux, qui cherchent plus à avoir raison qu'apprendre et retenir quand on leur offre cette chance de le faire, on découvre de temps à autre des gens comme toi.
A vrai dire, je préfère celui qui ne sait rien mais veut savoir et cherche à retenir. Que celui qui croit savoir et ne veut rien savoir quand on lui explique qu'il est sur la mauvaise voie. C'est tout simplement de l'orgueil mal placé et il n'en est souvent pas conscient lui-même. La passion des mots exacts est chez moi aussi forte que celle des mécaniques anciennes.
Je reste désolé de ce que je lis à longueur de post, et pas seulement sur ce forum où il semble que ce soit tout de même un peu mieux que la moyenne.
Je n'ai pas encore compris pourquoi, avec le temps, c'est l'erreur qui finit presque toujours par prendre le dessus sur la vérité. Ou alors l'ai-je trop bien compris......
Auprès de celui qui ne réfléchit guère, une erreur répétée a toutes les chances de devenir fatalement vérité. Il y en a de plus en plus et pas forcément que chez les amateurs, ce qui serait encore compréhensible et moindre mal. Non, même chez les dits "professionnels" où c'est évidemment moins excusable.
Pour ce qui est du restaurateur avisé.....avisé peut-être, mais restaurateur, sûrement pas ! Tout simplement parce que mes faibles moyens ne me le permettent pas.
Alors, au mieux, je remonte, (presque) au plus proche de la vérité. Je fiabilise, connaissant les défauts et faiblesses de certains éléments. Mais pas de grands travaux....
J'ai l'expérience du bricoleur solitaire que j'ai été pendant les années de ma jeunesse, (ou j'aurais bien aimé avoir internet, tiens !) et celle de mes quinze années passées dans l'automobile et qui on complété un certain savoir déjà acquis par mes propres moyens.
Le rêve, pour y revenir, me fait encore me souvenir de la découverte sur un tas de ferraille, de la pauvre épave sans moteur ni roues d'une MONET & GOYON M 11 plus ou moins contemporaine de ta P 51 CLK2.
J'avais enlevé le bouchon de réservoir et mis mon nez dedans, par habitude, pour sentir ce que ça pouvait bien sentir.
L'essence, forcément, mais quoi encore ?
Ca sentait tout simplement le "mélange deux temps" !
Pas l'odeur de la vieille essence restée trop longtemps dans le réservoir et dont l'odeur caractéristique est particulièrement tenace. Non, la bonne odeur du mélange essence/huile que la plupart des gens faisaient encore eux même ou se faisaient débiter au demi litre par un mélangeur des stations services nombreuses encore le long de nos routes. Nous étions en 1955.
L'essence du commerce sentait très bon.(pour ceux qui aiment, bien sûr !) Aujourd'hui on ne peut plus en dire autant et de plus, elle est de plus en plus nocive à respirer.
Respirer cette odeur m'a fait rêver et j'ai gardé ce souvenir un peu comme l'équivalent de la "madeleine" de Proust. Il me suffisait de la respirer pour imaginer le moteur chaud, la route, les balades, l'été et le bruit du moteur.
Quand j'ai enfin commencé à rouler sur ces engins, que je ne connaissais pas encore sous le nom de B.M.A, il m'arrivait, comme beaucoup, d'être obligé en route de "déboucher le gicleur", machine arrêtée (forcément !) mais moteur, carburateur et mélange encore chaud, et je sentais l'extérieur du carburateur qui me renvoyait l'odeur de ce mélange rendue encore plus puissante par la chaleur.
Nom de nom, que ça sentait bon !
Je ne crois pas que les gens seraient assez "fondus" aujourd'hui pour aller renifler la chose avant de se mettre au boulot pour démonter le gicleur. Du reste, ils n'en apprécieraient peut-être pas autant le "parfum". J'en gardais même l'odeur sur les doigts longtemps après.
Depuis, les carburants ont changé, les lubrifiants ont changé, et quand il m'arrive encore par hasard de renifler un carburateur chaud, je n'y retrouve plus guère ce qui était ma "madeleine".
Tout fout l'camp mon bon monsieur ! Même les odeurs du deux-temps ne sont plus ce qu'elles étaient....
Voila donc un peu d'histoire avec des souvenirs personnels.
Deux termes à retenir:
Le premier est le "té de fourche". La partie centrale du pivot de direction articulée sur cônes et cuvettes + billes et qui semble bien manquer à ta machine.
Le second est "filet"(s) de peinture et non liseré(s). C'est encore une erreur qui à fini par prendre le pas sur la vérité.
Mais pour revenir au té de fourche, comment comptes-tu faire ?
Je ne parle pas pour te décourager, évidemment, mais en choisissant une PEUGEOT P 51 CLK2, tu n'as pas choisi la facilité pour les pièces de rechange.
Alors, démontes, proprement, (c'est quelquefois plus difficile que de remonter...) prends des photos, poses les questions qui te turlupinent et AVANT de faire la connerie, toujours possible.
Et chaque fois que l'on pourra on tâchera de t'aider.
As-tu un extracteur adéquat pour le volant magnétique ?
Un extracteur (à trois griffes) pour le pignon de vilebrequin ?
Attention !
La fixation boîte/moteur de ces B.M.A est l'un des grands points faibles de toute la série des P 51 et P 51 C en général. Deux goujons de 7 m/m au pas de 1,00 qui ont souvent foiré et ont été remplacés par n'importe quoi, n'importe qui et n'importe comment.....!
A surveiller de très près.
A propos de la direction de ta P51 CLK2 :
A l'avant du cadre et, concernant le "jeu de direction" (*), y a-t-il encore la "cuvette" du bas (partie femelle du roulement inférieur du "jeu de direction") emboîtée sur le cadre, ainsi que le "cône" du haut (partie mâle du roulement supérieur du "jeu de direction") également emboîté sur le cadre, ou sont-ils manquants ?
Pas trop de questions traitées ni trop d'explications à la fois et ce sera peut-être plus simple à comprendre. Enfin, j'espère.... (La il y en a déjà pas mal)
Allez, courage !
LPDC.
(*) L'ensemble des roulements à système cônes/cuvettes ainsi que l'écrou de serrage, contre-écrou et rondelle à méplat (ou aussi ergotée) est ainsi nommé selon les termes anciens du cycle. Aujourd'hui on a bien dû trouver une expression à la noix pour faire plus moderne......
Je peux bien dire aujourd'hui que j'ai été un rêveur toute ma vie.
Mon dernier patron, plus jeune que moi, intelligent, ambitieux et assez fin psychologue, me le disais de temps en temps avec un de ses sourires en coin, agrémenté d'une bonne dose de moquerie.
Il m'avait bien "deviné".
Et c'est bien vrai, j'ai été un rêveur toute ma vie. C'est l'une des principales raisons pour lesquelles je suis resté pauvre et n'ai pas honte de le dire.
Pauvre mais passionné avant tout.
Il y a des renards partout qui savent tirer profit de la moindre faiblesse des gens qu'ils ont en face d'eux. C'est malheureusement la règle du jeu de cette vie à laquelle nous sommes pourtant tous aussi attachés.
Et nous nous sommes tous fait avoir un jour par plus expérimenté que soi. Une pauvre petite consolation en somme.....
Rigadain, ton post m'a profondément touché; je ne le cache pas non plus.
A travers quelques piques de mauvaise humeur de ceux, qui cherchent plus à avoir raison qu'apprendre et retenir quand on leur offre cette chance de le faire, on découvre de temps à autre des gens comme toi.
A vrai dire, je préfère celui qui ne sait rien mais veut savoir et cherche à retenir. Que celui qui croit savoir et ne veut rien savoir quand on lui explique qu'il est sur la mauvaise voie. C'est tout simplement de l'orgueil mal placé et il n'en est souvent pas conscient lui-même. La passion des mots exacts est chez moi aussi forte que celle des mécaniques anciennes.
Je reste désolé de ce que je lis à longueur de post, et pas seulement sur ce forum où il semble que ce soit tout de même un peu mieux que la moyenne.
Je n'ai pas encore compris pourquoi, avec le temps, c'est l'erreur qui finit presque toujours par prendre le dessus sur la vérité. Ou alors l'ai-je trop bien compris......
Auprès de celui qui ne réfléchit guère, une erreur répétée a toutes les chances de devenir fatalement vérité. Il y en a de plus en plus et pas forcément que chez les amateurs, ce qui serait encore compréhensible et moindre mal. Non, même chez les dits "professionnels" où c'est évidemment moins excusable.
Pour ce qui est du restaurateur avisé.....avisé peut-être, mais restaurateur, sûrement pas ! Tout simplement parce que mes faibles moyens ne me le permettent pas.
Alors, au mieux, je remonte, (presque) au plus proche de la vérité. Je fiabilise, connaissant les défauts et faiblesses de certains éléments. Mais pas de grands travaux....
J'ai l'expérience du bricoleur solitaire que j'ai été pendant les années de ma jeunesse, (ou j'aurais bien aimé avoir internet, tiens !) et celle de mes quinze années passées dans l'automobile et qui on complété un certain savoir déjà acquis par mes propres moyens.
Le rêve, pour y revenir, me fait encore me souvenir de la découverte sur un tas de ferraille, de la pauvre épave sans moteur ni roues d'une MONET & GOYON M 11 plus ou moins contemporaine de ta P 51 CLK2.
J'avais enlevé le bouchon de réservoir et mis mon nez dedans, par habitude, pour sentir ce que ça pouvait bien sentir.
L'essence, forcément, mais quoi encore ?
Ca sentait tout simplement le "mélange deux temps" !
Pas l'odeur de la vieille essence restée trop longtemps dans le réservoir et dont l'odeur caractéristique est particulièrement tenace. Non, la bonne odeur du mélange essence/huile que la plupart des gens faisaient encore eux même ou se faisaient débiter au demi litre par un mélangeur des stations services nombreuses encore le long de nos routes. Nous étions en 1955.
L'essence du commerce sentait très bon.(pour ceux qui aiment, bien sûr !) Aujourd'hui on ne peut plus en dire autant et de plus, elle est de plus en plus nocive à respirer.
Respirer cette odeur m'a fait rêver et j'ai gardé ce souvenir un peu comme l'équivalent de la "madeleine" de Proust. Il me suffisait de la respirer pour imaginer le moteur chaud, la route, les balades, l'été et le bruit du moteur.
Quand j'ai enfin commencé à rouler sur ces engins, que je ne connaissais pas encore sous le nom de B.M.A, il m'arrivait, comme beaucoup, d'être obligé en route de "déboucher le gicleur", machine arrêtée (forcément !) mais moteur, carburateur et mélange encore chaud, et je sentais l'extérieur du carburateur qui me renvoyait l'odeur de ce mélange rendue encore plus puissante par la chaleur.
Nom de nom, que ça sentait bon !
Je ne crois pas que les gens seraient assez "fondus" aujourd'hui pour aller renifler la chose avant de se mettre au boulot pour démonter le gicleur. Du reste, ils n'en apprécieraient peut-être pas autant le "parfum". J'en gardais même l'odeur sur les doigts longtemps après.
Depuis, les carburants ont changé, les lubrifiants ont changé, et quand il m'arrive encore par hasard de renifler un carburateur chaud, je n'y retrouve plus guère ce qui était ma "madeleine".
Tout fout l'camp mon bon monsieur ! Même les odeurs du deux-temps ne sont plus ce qu'elles étaient....
Voila donc un peu d'histoire avec des souvenirs personnels.
Deux termes à retenir:
Le premier est le "té de fourche". La partie centrale du pivot de direction articulée sur cônes et cuvettes + billes et qui semble bien manquer à ta machine.
Le second est "filet"(s) de peinture et non liseré(s). C'est encore une erreur qui à fini par prendre le pas sur la vérité.
Mais pour revenir au té de fourche, comment comptes-tu faire ?
Je ne parle pas pour te décourager, évidemment, mais en choisissant une PEUGEOT P 51 CLK2, tu n'as pas choisi la facilité pour les pièces de rechange.
Alors, démontes, proprement, (c'est quelquefois plus difficile que de remonter...) prends des photos, poses les questions qui te turlupinent et AVANT de faire la connerie, toujours possible.
Et chaque fois que l'on pourra on tâchera de t'aider.
As-tu un extracteur adéquat pour le volant magnétique ?
Un extracteur (à trois griffes) pour le pignon de vilebrequin ?
Attention !
La fixation boîte/moteur de ces B.M.A est l'un des grands points faibles de toute la série des P 51 et P 51 C en général. Deux goujons de 7 m/m au pas de 1,00 qui ont souvent foiré et ont été remplacés par n'importe quoi, n'importe qui et n'importe comment.....!
A surveiller de très près.
A propos de la direction de ta P51 CLK2 :
A l'avant du cadre et, concernant le "jeu de direction" (*), y a-t-il encore la "cuvette" du bas (partie femelle du roulement inférieur du "jeu de direction") emboîtée sur le cadre, ainsi que le "cône" du haut (partie mâle du roulement supérieur du "jeu de direction") également emboîté sur le cadre, ou sont-ils manquants ?
Pas trop de questions traitées ni trop d'explications à la fois et ce sera peut-être plus simple à comprendre. Enfin, j'espère.... (La il y en a déjà pas mal)
Allez, courage !
LPDC.
(*) L'ensemble des roulements à système cônes/cuvettes ainsi que l'écrou de serrage, contre-écrou et rondelle à méplat (ou aussi ergotée) est ainsi nommé selon les termes anciens du cycle. Aujourd'hui on a bien dû trouver une expression à la noix pour faire plus moderne......
Dernière édition par lapétarelleducoin le Mar 18 Juin 2013 - 11:39, édité 1 fois
lapétarelleducoin- Modérateur
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Date d'inscription : 03/07/2011
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Localisation : Est Lozère
réponse de rigadain
Cher LAPETARELLEDUCOIN,
Encore une fois Merci pour ton post rédigé à une heure si tardive qu'il force l'admiration !
J'en ai apprécié le contenu, la forme poétique et l'humour aussi.
Sculpteur et Peintre pas très argenté mais riche de vivre des moments comme hier soir où le coeur reprend ses droits, je suis très sensible à cette marque d'attention et te félicite pour cette si belle plume qui est la tienne.
Ton évocation des parfums de mélange deux temps a ravivé de beaux souvenirs d'adolescent que le voile du temps avait à peine occulté et là c'était comme une plongée au coeur de la moto déjà ancienne.
J'ai 50 ans et je te parles d'un temps où gamin de 14 ans je chevauchais fièrement un Peugeot Rally 3 vitesses sur les petites routes d'Eure et Loir.
Les années ont passé et cette petite lueur est toujours intacte dans l'oeil du gamin qui se sentais libre sur son toit du monde.
Alors je te comprends lorsque tu évoques tous ces beaux souvenirs que rien n'efface, ni la course à l'échalotte et encore moins les turpitudes d'une société "moderne".
Pour revenir à ton post et les questions évoquées, oui je suis quelques peu découragé par le fait d'avoir acheté une compilation de pièces provenant de différentes BMA difficilement ajustables entre elles?!!
C'est le fruit de mon ignorance concernant ces merveilleuses machines et c'est aussi le début d'un apprentissage.
Le point positif est de t'avoir comme interlocuteur car sans cela, mon dépit serait à la hauteur de l'arnaque totale et mesquine de ce sacré vendeur qui m'a fait prendre des vessies pour des lanternes.
Pour en revenir à la mécanique (ça calme toujours car dans l'énervement rien n'est bon.!)
oui, concernant le jeu de direction, j'ai bien la partie "cône" du haut ainsi que la partie femelle de la cuvette du bas.
Non, je ne sais pas comment me procurer la fourche Té;
Je nai pas d'extracteur, ni de pignon de vilebrequin que de voLant magnétique.
J'ai tenté de monter le moteur sur le cadre mais seul l'attache arrière du bloc moteur correspond avec les pattes soudées au cadre et d'un écartement de 30 mm.
Les deux pattes de fixation à six points res tent un mystère tant par rapport au cadre que concernant le moteur.
dernier point et non des moindres, je joint à ce post quelques clichés qui dissiperont je l'éspère tous ces doutes que tu évoquais.
Les certitudes sont un bel hommage rendu à l'espoir...
Bien à toi,
rigadain.
Encore une fois Merci pour ton post rédigé à une heure si tardive qu'il force l'admiration !
J'en ai apprécié le contenu, la forme poétique et l'humour aussi.
Sculpteur et Peintre pas très argenté mais riche de vivre des moments comme hier soir où le coeur reprend ses droits, je suis très sensible à cette marque d'attention et te félicite pour cette si belle plume qui est la tienne.
Ton évocation des parfums de mélange deux temps a ravivé de beaux souvenirs d'adolescent que le voile du temps avait à peine occulté et là c'était comme une plongée au coeur de la moto déjà ancienne.
J'ai 50 ans et je te parles d'un temps où gamin de 14 ans je chevauchais fièrement un Peugeot Rally 3 vitesses sur les petites routes d'Eure et Loir.
Les années ont passé et cette petite lueur est toujours intacte dans l'oeil du gamin qui se sentais libre sur son toit du monde.
Alors je te comprends lorsque tu évoques tous ces beaux souvenirs que rien n'efface, ni la course à l'échalotte et encore moins les turpitudes d'une société "moderne".
Pour revenir à ton post et les questions évoquées, oui je suis quelques peu découragé par le fait d'avoir acheté une compilation de pièces provenant de différentes BMA difficilement ajustables entre elles?!!
C'est le fruit de mon ignorance concernant ces merveilleuses machines et c'est aussi le début d'un apprentissage.
Le point positif est de t'avoir comme interlocuteur car sans cela, mon dépit serait à la hauteur de l'arnaque totale et mesquine de ce sacré vendeur qui m'a fait prendre des vessies pour des lanternes.
Pour en revenir à la mécanique (ça calme toujours car dans l'énervement rien n'est bon.!)
oui, concernant le jeu de direction, j'ai bien la partie "cône" du haut ainsi que la partie femelle de la cuvette du bas.
Non, je ne sais pas comment me procurer la fourche Té;
Je nai pas d'extracteur, ni de pignon de vilebrequin que de voLant magnétique.
J'ai tenté de monter le moteur sur le cadre mais seul l'attache arrière du bloc moteur correspond avec les pattes soudées au cadre et d'un écartement de 30 mm.
Les deux pattes de fixation à six points res tent un mystère tant par rapport au cadre que concernant le moteur.
dernier point et non des moindres, je joint à ce post quelques clichés qui dissiperont je l'éspère tous ces doutes que tu évoquais.
Les certitudes sont un bel hommage rendu à l'espoir...
Bien à toi,
rigadain.
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Hoé, Rigadin !
Ferais-tu partie des "Trois pt'its tours" dont j'ai parlé ?
Pour quelle raison es-tu soudainement devenu silencieux ?
Tu m'avais pourtant l'air très enthousiaste.....
Et moi, tout prêt à t'aider dans la mesure de mes connaissances.
LPDC.
Ferais-tu partie des "Trois pt'its tours" dont j'ai parlé ?
Pour quelle raison es-tu soudainement devenu silencieux ?
Tu m'avais pourtant l'air très enthousiaste.....
Et moi, tout prêt à t'aider dans la mesure de mes connaissances.
LPDC.
lapétarelleducoin- Modérateur
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Age : 86
Localisation : Est Lozère
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Je pense que Rigadain qui était bien parti pour faire du beau boulot ne nous ne donnera plus signe de vie à présent.
J'aurais pourtant aimé savoir pourquoi, comme tant d'autres, il a disparu comme tous les "trois petits tours" qui sont passés ici ..... ?
En fait, ce n'est pas pour cela que je reprends ce post mais pour ce qui suit
Je "me" cite .....
<< - Attention !
La fixation boîte/moteur de ces B.M.A est l'un des grands points faibles de toute la série des P 51 et P 51 C en général. Deux goujons de 7 m/m au pas de 1,00 qui ont souvent foiré et ont été remplacés par n'importe quoi, n'importe qui et n'importe comment.....!
A surveiller de très près.>>
J'avais alors signalé cette faiblesse des P 51 et P 51 C et de leurs dérivés.
J'avais omis d'y inclure également la série des P 52 C montée selon le même système légèrement améliorée certes, mais très souvent encore avec le même problème.
Il suffit de regarder les images de cette annonce pour trouver confirmation de ce que j'avance, et qui se présente sous la forme de ce renfort artisanal en tôle, que l'on voit assez ingénieusement adapté entre la boîte de vitesses et son support.
http://www.leboncoin.fr/equipement_moto/747389571.htm?ca=12_s
Selon ma propre expérience, ce n'est pas le plus discret ni le meilleur système en matière de remède à ce problème, mais il vient confirmer si besoin était qu'il est à prendre en considération avant l'achat d'une PEUGEOT dont j'ai cité les types.
Et contrairement à ce que dit l'annonce, ce n'est pas un moteur de 125 Cm/3 (ni même de 25 Cm/3 ! ) mais bien de 100 Cm/3.
Sinon ce ne serait pas celui d'une P 52 C ..... Et à 300 euros, je pense qu'il n'est pas encore vendu !
Mais ça, c'est une autre histoire.
LPDC.
J'aurais pourtant aimé savoir pourquoi, comme tant d'autres, il a disparu comme tous les "trois petits tours" qui sont passés ici ..... ?
En fait, ce n'est pas pour cela que je reprends ce post mais pour ce qui suit
Je "me" cite .....
<< - Attention !
La fixation boîte/moteur de ces B.M.A est l'un des grands points faibles de toute la série des P 51 et P 51 C en général. Deux goujons de 7 m/m au pas de 1,00 qui ont souvent foiré et ont été remplacés par n'importe quoi, n'importe qui et n'importe comment.....!
A surveiller de très près.>>
J'avais alors signalé cette faiblesse des P 51 et P 51 C et de leurs dérivés.
J'avais omis d'y inclure également la série des P 52 C montée selon le même système légèrement améliorée certes, mais très souvent encore avec le même problème.
Il suffit de regarder les images de cette annonce pour trouver confirmation de ce que j'avance, et qui se présente sous la forme de ce renfort artisanal en tôle, que l'on voit assez ingénieusement adapté entre la boîte de vitesses et son support.
http://www.leboncoin.fr/equipement_moto/747389571.htm?ca=12_s
Selon ma propre expérience, ce n'est pas le plus discret ni le meilleur système en matière de remède à ce problème, mais il vient confirmer si besoin était qu'il est à prendre en considération avant l'achat d'une PEUGEOT dont j'ai cité les types.
Et contrairement à ce que dit l'annonce, ce n'est pas un moteur de 125 Cm/3 (ni même de 25 Cm/3 ! ) mais bien de 100 Cm/3.
Sinon ce ne serait pas celui d'une P 52 C ..... Et à 300 euros, je pense qu'il n'est pas encore vendu !
Mais ça, c'est une autre histoire.
LPDC.
lapétarelleducoin- Modérateur
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Re: peugeot p 51 clk2 1938
Et Rigadain s'est sans doute découragé en pensant que moteur et cycle n'allaient pas ensemble, alors que c'était certainement bon puisqu'il y a des pattes entre l'avant du moteur et le cadre.
Barnab- Aficionados du pétochon
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Localisation : Franconville (95)
Re: peugeot p 51 clk2 1938
Ben oui, peut-être, mais il semblait si bien parti et motivé .....
C'est le passage de ce bel enthousiasme à ce silence soudain qui paraît toujours incompréhensible.
Et il est loin d'être le seul exemple!
Je pense que ça explique en partie le nombre d'engins que l'on retrouve à la vente, complètement démontés "pour restauration", et qui sont le résultat de ce découragement soudain mais pourtant assez souvent prévisible si l'on n'est pas réellement passionné par le sujet.
Il faut de tout pour faire un monde, certes, mais combien d'engins ont ainsi terminé leur carrière .....
LPDC.
C'est le passage de ce bel enthousiasme à ce silence soudain qui paraît toujours incompréhensible.
Et il est loin d'être le seul exemple!
Je pense que ça explique en partie le nombre d'engins que l'on retrouve à la vente, complètement démontés "pour restauration", et qui sont le résultat de ce découragement soudain mais pourtant assez souvent prévisible si l'on n'est pas réellement passionné par le sujet.
Il faut de tout pour faire un monde, certes, mais combien d'engins ont ainsi terminé leur carrière .....
LPDC.
lapétarelleducoin- Modérateur
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